(Extrait de "L'armée furieuse" de Fred Vargas)
mercredi 3 août 2011
L'effet papillon
(Extrait de "L'armée furieuse" de Fred Vargas)
mardi 2 août 2011
lundi 25 juillet 2011
Petites culottes
Aujourd'hui, j'ai passé l'après-midi dans une boutique de lingerie à St Malo. Imaginez! Des portants entiers de soutiens-gorges de tous styles : corbeilles, ampliformes, push-up, plongeants, foulards, Body touch ... des rayonnages de slips, shorties, tangas, guêpières ... brodés, ornés de dentelles ou de satin. En sortant, je n'avais plus qu'une envie : jeter ma vieille culotte rose aux orties !
dimanche 24 juillet 2011
C'est la pluie qui fabrique les arcs en ciel !
Il pleut ENCORE! Bon, il fera sans doute beau demain ... je vois déja le soleil qui cherche à percer entre les branches du cerisier du voisin.
En attendant, je n'ai pas l'intention de me laisser dicter ma conduite par le temps (pas celui qui s'étire mais celui qu'il fait !)
samedi 11 juin 2011
L'homme qui voulait être heureux
"... J'aperçus une enfant, seule sur la plage, sans doute la fille de l'un des rares touristes à découvrir ce lieu. Elle avait peut-être cinq ou six ans. Munie d'un bâton, elle dessinait avec application quelque chose sur le sable. Elle me vit approcher, et, lorsque j'arrivai à sa hauteur, elle me lança un rapide sourire, ne se détournant qu'une seconde de son ouvrage.
Extrait du roman de Laurent Gounelle : "L'homme qui voulait être heureux"
mercredi 8 juin 2011
Douceurs printanières
Depuis 2 mois je me délecte du parfum des fleurs, de l'éclat des couleurs, des senteurs de la terre, de la caresse du vent, de la chaleur du soleil. C'est si bon ...
vendredi 6 mai 2011
Stromae
dimanche 1 mai 2011
Le lis de la vallée
vendredi 29 avril 2011
dimanche 24 avril 2011
L'oeuf
Oeuf de Pâques Dalloyau
samedi 23 avril 2011
Les madeleines de Louboutine
Madeleines aux raisins;
o 120 g de beurre
o 3 œufs
o 120 g de sucre semoule
o 140 g de farine tamisée
o 1 sachet de levure chimique
o 1 poignée de raisins secs sultanines
o 1 pincée de sel
vendredi 15 avril 2011
Croquer un macaron à pleines dents
dimanche 10 avril 2011
La petite boîte bleue
Pour ses 100 ans, je rends hommage à la petite boîte bleue qui accompagne mes rituels quotidiens. J'aime sa forme incontournable et rassurante, sa crème blanche immaculée qui hydrate la peau et soigne les petits bobos ainsi que ses arômes inimitables de rose et de muguet qui me réjouissent depuis l'enfance.
jeudi 7 avril 2011
Tarte caramel, chocolat, bananes
crème au chocolat aussi goûteuse qu'une mousse
m ;;;;;;;;;;;;;;;;;;;;;;;;;;;;;;;;;;;;;;;;;;;;;;;;;;;;;;;;;;;;;;;;;;;;;;;;;;;;;;;;;;;;;;;;;;;;;;;;;blanc d'oeuf battu en neige comme un Himalaya;;
et tarte dorée sous le gril pour avoir bonne mine;
samedi 2 avril 2011
Tapis rouge
mercredi 30 mars 2011
Quand reviendra l'été
dimanche 27 mars 2011
lundi 21 mars 2011
Architecture de poupée
lundi 14 mars 2011
samedi 12 mars 2011
Daddy
... La grande force de ma mère a été de lui laisser un peu de place pour qu'il puisse agir à sa guise, sur un terrain traditionnellement réservé aux femmes.
vendredi 11 mars 2011
mardi 8 mars 2011
Reine de la fête
lundi 7 mars 2011
Lundi matin
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mardi 1 mars 2011
Château Richeux à l'heure du thé
Château Richeux
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Le hall d'entrée et l'étagère aux épices.
Dans le salon aux boiseries sombres et à la lumière douce,
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on peut lire en toute quiétude des ouvrages sur la région, l'histoire des Malouins et la Route des épices, tout en dégustant un grog épicé, un chocolat chaud ou un thé Mariage.
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Le verger.
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.Le plan du verger
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.Le parc
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Construit dans le jardin, le four à pain a été conçu avec Lionel Poilâne. .
samedi 26 février 2011
C'est le printemps!
Ma mère me disait :" Ginette, l’humeur de chacun contribue à créer l’ambiance. Elle déteint sur celle des autres. Nous avons tous notre rôle à jouer dans ce bas monde". C’est vrai que je dois faire quelque chose avant que le personnel du bureau ne soit décimé. Ils sont tous en train de plonger dans la neurasthénie et je culpabilise à l’idée que mon patron se jette de désespoir par la fenêtre du 7ième étage. Ça serait vraiment dommage pour les massifs de cactus qui bordent les rangées d’aubépines, tout en bas. L’image de son propre corps transpercé comme une poupée Vaudou se profile dans ma tête…. Je sais…Il ne faut pas que cela me fasse rire ! Pour retrouver mon sérieux, j’imagine la secrétaire aux prises avec le broyeur de papier, essayant de se taillader les veines. Et, si elle réussissait son coup et qu’on la retrouvait exsangue, les poignets en charpies, dans une mare de sang remplie de bandes multicolores !
Avant qu’il ne soit trop tard, je vais leur en apporter du printemps ! Ma chemise à fleurs et ma mini jupe froufroutante feront bien l’affaire. Comme il fait un peu froid, je les réchaufferai d’une paire de collants rose pétants et d’un pschitt d’eau de toilette aux essences d’églantine.
Je ne sais pas si c’est le froid ou les cafés brûlants que j’ai absorbés à chaque correspondance du RER, mais à peine franchi le hall d’entrée de la société, je dois me précipiter aux toilettes. Je ne regrette pas mon initiative vestimentaire car tous les yeux sont braqués sur moi. C’est vrai que j’en jette avec mes couleurs flamboyantes. J’obtiens même un sifflement admiratif et une remarque un peu osée mais avec les hommes, il faut s’attendre à tout : vous leur montrez un bout de jambe et ils vous déshabillent de pied en cap ! Seules les écervelées du démarchage téléphonique ont ricané dans mon dos, en adoptant des regards outrés. Ça, je peux le comprendre de Madame Francine, notre chef de bureau ; elle est d’une autre génération. A son époque, on portait des robes "Princesse" et des tailleurs " Prince de Galles" avec des cols Claudine. Alors, je conçois qu’elle m’ait dit de tirer sur ma jupe : elle vient d’une époque où les petites filles étaient sages comme des images et évoluaient dans un monde merveilleux de lapins en sucre et de poudre de perlimpinpin.
Je n’y peux rien si je suis la messagère du printemps. J’ai envie de communiquer ma fièvre et je me targue d’avoir virevolté comme une abeille de fleur en fleur, en distribuant le courrier à tout l’étage. Ils sont tous restés bouche bée, épatés par tant de grâce. J’étais très fière de moi, jusqu’au moment où je suis entrée dans le bureau de ma meilleure amie. C’est là que le génie de la honte s’est abattu sur moi…à l’instant précis où elle m’a chuchoté : " Ginette, là derrière, le bas de ta jupe est restée coincée dans tes collants !"
dimanche 30 janvier 2011
Promesses printanières
Quatrième résolution : ne voir que les belles choses..
Même si le froid et la grisaille sont toujours là
mercredi 26 janvier 2011
Elévation spirituelle